Entdecken Sie Geschichten
... Die Dévaloir der Kessel ...

Es ist seit langem, dass, die diablats, Wizards, Feen und Wyvern besetzt alle Höhlen Tops Fully. Ihre Beobachtungsposten, sie beobachtet und kontrolliert die gesamte Region fulliéraine. Wenn die Kreuzung unter Chavalard war keine Gefahr im Laufe des Tages, es war nicht gut zu wagen, nach Einbruch der Dunkelheit. Es war ihre Domäne, und wehe denen, die es wagen, zu provozieren. So leichtsinnig spurlos verschwunden… Tatsächlich, Was könnte ein einzelner Mann, und sogar zwei oder drei, contre de telles puissances occultes ? Wenn beide alpine Mitarbeiter verantwortlich für den Transport des Kessels, für die Herstellung von Käse, die Erie nach Sorniot zurück auf die Erde, sie könnten bezeugen. Aber niemand kam aus der anderen Welt und auch mit dieser unwiderlegbaren Beweis einige großspurigen würde sogar ihre Existenz in Frage stellen. Qu’auraient-ils fait à leur place ? Pauvres imprudents !
In diesem frühen Zeitraum, die Fulliérains hatte keine andere Einkünfte als die aus der Tierhaltung stammen erhöht durch einige brantées Grape. Zu Beginn des Mai, wenn die Ställe waren leer, führte die Landwirte auf Rinder und Ziegen grasen in der Gemeinschaftsküche. Jeder Streifen von Gras wurde zu seiner äußersten Grenze weiden. Der Alpaufzug fand einen Monat später.
Im Morgengrauen, und alle Schattierungen, der Klang der Glocken zu hören war. Fahren ihr Vieh, Besitzer Mazembroz, Saxé und Chestnut, auf verschiedenen Wegen, kamen zusammen, um Buitonnaz und dann setzten ihren Aufstieg zum Louisine. Diejenigen Branson, noch weiter entfernten, waren nicht die letzten, die ankommen. Sie machten sich für die Entfernung, die sie von Vers l'Eglise getrennt steigenden früher.
Auf der Alp, Schäfer nahm Besitz von den Tieren, wie und wann sie ankommen. Die verschiedenen Farben Mäntel gab die ganze Herde ein buntes Bild, weil zu diesem Zeitpunkt keine Auswahl wurde von den Eigentümern praktiziert. Nach einem Picknick auf dem Rasen, gingen alle in der Nähe des Kreuzes, das den Segen der Weide hatte. In einer meditativen Haltung hörten sie die Gebete der Priester Gott zu bitten, die Herde und Hirten während der gesamten Kampagne zu schützen. Dann, jeder ging nach Hause.
Die Weide ist Louisine dann hatte ein Unterstand auf beiden Seiten zu öffnen. Dans la partie la mieux protégée se trouvait le dortoir des employés ; in der anderen, Kessel Herstellung und Gepäckaufbewahrung. Es war nicht Butter. Milch wurde direkt in den Kessel gegossen. Sobald die Herde weiden hatte das Gras rund um die Hütte, unternahm er auf den nahe gelegenen Pisten und stieg die Ochsen Ihm, war Gegenstand eines Rechtsstreits zwischen der Bourgeoisie und dem Voll Leytron.1
Nachdem wir zwei Wochen Louisine, le troupeau montait à l’Erié où l’on devait transporter la chaudière et les bagages des employés. Ici le bétail restait à peine une semaine. Quand tout était pâturé, le fromager annonçait le départ pour Sorniot.
Le remuage à la montagne haute comportait certains dangers, car dès que les vaches étaient engagées sur le chemin de la Corniche, le moindre écart pouvait les précipiter dans l’abîme. Afin de diminuer les risques, on fractionnait le troupeau. Chaque employé prenait une partie à sa charge. Le dernier jour, à l’Erié, après la traite du soir, il fallait encore faire le fromage, laver les ustensiles et préparer les bagages pour le lendemain matin. Les employés avaient du travail jusqu’à la tombée de la nuit.
Une année, deux solides gaillards furent chargés de transporter la chaudière à la montagne haute. Elle devait parvenir à destination de très bonne heure le lendemain car la traite du matin avait lieu à Sorniot. Les deux jeunes gens s’occupèrent immédiatement de leur mission. Ils placèrent deux perches sur le bord supérieur de la chaudière et lièrent solidement le tout au moyen d’une corde. Entre-temps, la pleine lune s’était levée au-dessus de Nendaz et projetait sa lumière sur les flancs du Chavalard. Les deux employés se concertèrent et décidèrent de partir le soir même pour Sorniot. Ils craignaient de devoir se lever trop tôt le lendemain.
La charge bien équilibrée, ne leur parut pas trop lourde. Connaissant la longueur du trajet, ils partirent d’un pas modéré. La lune éclairant suffisamment le chemin, les porteurs avançaient sans difficulté. Après avoir traversé le Lavanchy, (le torin Lovintsë) ils durent poser leur charge afin de se reposer un instant. Dix minutes plus tard ils repartirent.
Ils avaient fait une centaine de mètres à peine lorsqu’ils entendirent un formidable coup de tonnerre. Et pourtant le ciel était serein. La lune et les étoiles brillaient de tout leur éclat. Effrayés par cet étrange phénomène, les porteurs pressèrent le pas. Ils arrivèrent à l’Ablet tout en nage et furent brusquement arrêtés par un colosse vêtu de noir qui leur dit d’une voix de stentor :
– Halte-là, au nom de Lucifer.
Stupéfaits, les porteurs laissèrent choir la chaudière sur le chemin. Le colosse la saisit d’une main, la leva au-dessus de sa tête et la lança dans le dévaloir en aval en disant :
– Et maintenant disparaissez.
Saisis d’épouvante, les deux employés firent volte-face et s’enfuirent à toute vitesse. Mais un orage accompagné de gros grêlons s’abattit sur le Chavalard. Le vent, d’une violence inouïe, faisait rouler les pierres autant sur les crêtes que dans les combes. Les fuyards risquèrent plusieurs fois la mort mais s’en tirèrent miraculeusement. Ils arrivèrent à l’Erié, pétrifiés d’horreur, l’un avec une épaule cassée, l’autre ensanglanté par une entaille au front.
L’alerte fut donnée au chalet. Les employés, mis au courant de l’événement, se concertèrent. La situation était inquiétante. En effet, tant à Louisine qu’à l’Erié, toute l’herbe avait été broutée et il ne servait à rien de partir pour Sorniot puisque la chaudière avait disparu.
La meilleure solution était la désalpe. Le fromager envoya une estafette à Vers l’Eglise où habitait le responsable des alpages afin de le mettre au courant du fait survenu durant la nuit. Ce dernier fit annoncer dans tous les villages que la désalpe avait lieu dans l’après-midi.
Der nächste, le président et un membre du consortage partirent pour Vevey afin d’acheter une nouvelle chaudière. Mais le fabricant n’en avait point en stock. Il promit de la livrer à Fully dans les six jours. Entre-temps les vaches durent pâturer dans les communaux.
La semaine suivante, une chaudière battant neuve arrivait à Fully. Le cuivre brillait d’un éclat particulier. Une demi-douzaine de volontaires s’offrirent pour la transporter à Sorniot. Mais cette fois-ci, pour ne pas être victimes des puissances occultes, ils passèrent sous le Chavalard en plein midi. Le lendemain eut lieu la seconde inalpe. Le bétail fut conduit directement à Sorniot.
L’endroit où la chaudière fut précipitée dans l’abîme est resté gravé dans le souvenir des Fulliérains, puisqu’on l’appelle encore aujourd’hui le dévaloir de la Chaudière. (le tsâble Tsoeüdaïre).
1 Fully obtint gain de cause.
Légende de l’image: « Le moindre écart pouvait les précipiter dans l’abîme. »